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205-210
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@@ -3243,18 +3243,16 @@ einbrechenden Schimmer des Tags verstecken konnte machte ich den Schattenriß. D
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<line tab="1"/><aq>Actuar:</aq> sagt er hab 2 Exemplar zu Frankfurt gelassen daß Du und Goethe (ich kann so geschwinder schreiben den Namen flugs weg, ist er doch mehr werth als Titulatur) sie nach Weim: bekommen sollten. Der <aq>Act:</aq> versteht nicht was das heißt: „Grüßen <insertion pos="top">Sie</insertion> Jgfr. Lauth <ul>auf Wiedersehen“</ul> er meynt Du kommst wieder.
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<line tab="1"/>Was soll ich Dir nun noch her waschen, weiß nichts von Neuigkeiten, denke! – Kaufmann ist hier, der ist ein treflicher Mensch ist jetzt zu Emmedingen, schreibt mir daß Pfenninger dort ist, wann ich – ich muß die Woche noch ‘nauf trotten. Sonnabend hier, Sonntag dort und Montag wieder hierher, das soll eine Erscheinung seyn von – mir?
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<line tab="1"/>Dem Kaufmann hab ich ein paar Portraits zur Physiognomik, die er doppelt hatte aus seinem <aq>portefeuille</aq> gemaußt, hab auch Goethe bekommen weist den den ich wieder geben mußte für die zu Säsenheim, solltest sehn wie ich drüber stolziere und froh bin, er hengt in goldnem Rahm unter Luther.
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<line tab="1"/>Die O …. ch lieber Bruder! ist wieder zurück, geht mit der Kg – <note>Symbol für Donnerstag</note> nach Quagenheim und nach Schweighausen ins Oberland, wo ihrs Vaters Güter sind, kommt dann den ganzen
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<line tab="1"/>Die O …. ch lieber Bruder! ist wieder zurück, geht mit der Kg – [Symbol für Donnerstag] nach Quagenheim und nach Schweighausen ins Oberland, wo ihrs Vaters Güter sind, kommt dann den ganzen
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<page index="3"/>Sommer nicht mehr zurück. Sag mir doch ob Du sie nach meinem Ietztern ungeschnitzelten Profil erkannt und gleich gefunden hast, wo nicht, so bekomm ich wann’s meine Finanzen gestatten einen Stuhl wie sie zu Zürich haben (den ich hier schon für jemand anders nach einem kleinen Muster machen ließ) und dann solls nicht fehlen, sie muß noch einmal sitzen. Jgfr Kg thuts uns.
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<line tab="1"/>kommende Michaelis reiß ich nach Göttingen, wenigstens reiß ich, das ist ausgemacht, seh Dich vielleicht – dann Liebster hastu (siehstu ich bitte Dich aufn Knieen) heitere Miene, bist alsdann Lenz und ein etablierter Mann und Adieu! Glaubstu daß ich Dich liebe?
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<line type="break" />Dein Röderer.
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<line type="break"/>Nun noch ein paar Blicke in den <aq>Courier du bas Rhin</aq>, find ich was so kriegsts.
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<line type="break" /><align pos="right">Dein Röderer.</align>
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<line tab="1"/>Nun noch ein paar Blicke in den <aq>Courier du bas Rhin</aq>, find ich was so kriegsts.
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<line tab="1"/><aq>Paris 9 17 Juin. On travaille en France a 15 Vaisseaux de Lign. & 11 fregates. precaution pour la tournure que pourra prendre la guerre de l’Amerique. On va rifondre les ordonnances anciennes de la marine pour etablir une nouvelle discipline.</aq>
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<line type="break"/>Hast dann nichts so zu lesen? ists nöthig daß ich so ausschreibe? <aq>Courrier du b. Rh.</aq> kommt mein ich zu Mainz heraus.
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<line tab="1"/>>Hast dann nichts so zu lesen? ists nöthig daß ich so ausschreibe? <aq>Courrier du b. Rh.</aq> kommt mein ich zu Mainz heraus.
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<line tab="1"/><aq>De Landres du 14 Juin. Du coté des Royalistes. 2 Vaisseaux de Ligne. 8 de 50 canons, 3 de 44 Fregates 7 de 32 can. 11 de 28. 4 de 24 can. 5 de 20. corvettes 3 de 18 can. 3 de 16. 4 de 12. 3 de 10. 2 de 8. Chaloupes armes 27. un brulot et une bombarde. total des batiments 82, Matelots100578. soldals de marine 2112.
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<line type="break"/>Etat des troupes nationales & Etrang.
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<line type="break"/>Nat: 30700.
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<line tab="1"/>Etrang: 12 000 de Hesse. 668 du Pr. hered. de Hesse. 4 300 Brunswich. 600 du Pr. Waldeck. tot. 17 s68. tot. general = 48 268. Ajoute encore 9 Compagnies d’Artillerie a 75 homm. & 2000 homm. de marine. de sorte 51–52000 homm. Masse enorme qui ne peut manquer d’ecraser
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<page index="4"/>ou l’Amerique ou l’Angleterre; (ah qu’il me faul copier!) mais dont le Contrecoup retombera toujours sur cette derniere.</aq>
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<line tab="1"/>Der Portug: Hof scheint von Engell. zum Zwist mit Span: aufgehutscht zu werden damit dieses nicht so leicht die Colonien begünstige bald bald muß es sich entscheiden u. Engelland kann doch Port. nicht unterstützen, und Spanien ist reich etc. u. hätte gern was ihm lieb ist Minorka Gibraltar etc.
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@@ -3306,31 +3304,22 @@ einbrechenden Schimmer des Tags verstecken konnte machte ich den Schattenriß. D
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<line tab="1"/>Encore une fois daignez me dire si quelque nouveau livre ou quelqu’autre nouveauté pouvait exciter la curiosité de Me: de Oberkirch Pour des nouvelles de Mlle. sa Cousine je n’en saurois actuellement lui donner excepté qu’elle soit allée avec Me: la Duchesse regnante a Belvedere sa maison de campagne; le Duc est a Illmenau; ou j’espere bientot le voir après avoir encore joui quelques semaines des douceurs de la solitude.</aq>
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<letterText letter="206"><aq>
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<line tab="1"/>II s’ agit aussi de faire des Soldats et d’ Officiers pas des jeunes gens etourdis et effemines en meme tems, quelque fois de grends enfans, mais des hommes d’un courage male et affermis comme les vieux Romains – Mais assez de Preliminaires passans au fait.
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<letterText letter="206"><page index="1"/><aq>
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<line tab="1"/>Il s’ agit aussi de faire des Soldats et d’ Officiers pas des jeunes gens etourdis et effemines en meme tems, quelque fois de grends enfans, mais des hommes d’un courage male et affermis comme les vieux Romains – Mais assez de Preliminaires passans au fait.
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<line tab="1"/>Quon pe me passe encore une seule et Ia derniere remarque preliminaire. Cest que de tout tems il est affermi par l’experience de tous tems et lieux et surtout de la France, que la guerre, soit heureuse ou malheureuse, ruine enfi Je pays qui Ia fait. Cest peut etre a Ia france qui depuis tous les tems par des arrangemens plus sages a donnee lois aux autres peuples, a les instruire comment enfin on peut faire Ia guerre au profit de son pays, comme les vieux les Romains les ont faits et en meme tems a Ia gloire du Roi. C’ est lorsque les Soldats comme chez les vieux Rom. combattent pour eux et pour leurs propres familles, songent a mettre a l’ecart le butin qu’ils font, et Je rapportent dans le Royaume ou apres ils circulent et l’enrichissent. Voila ce qui manquoit aux Louis 14 et ou les Colberts ne pouvoient pas remedier. Ce netoient que des palliatives qu’ils inventoient pour subvenir aux frais de Ia guerre, et qui n’ayant des canaux reduisants devoient a Ia fin, quelques sages que tous ces dispositions etoient prises, tarir les sources les plus fecondes. Voila actuellement tous ces perils d’une guerre prevenues <insertion pos="top">de longue main</insertion> parce que tous les moiens que les sujets ouvriront au tems de l’extreme necessité, vont retourner aux tems de Ia paix a leur propre profit. Car d’abord que l’armee revient elle reduit avec soi l’abondance et l’industrie arreté par Ia guerre.
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<line tab="1"/><note>um 90 Grad gedreht</note>Oserois je vous prier Madame! d’agréér ici la continuation du Mercure Allemand avec les assurances de son plus profand respect et parfait éstime de la part de Monsieur Wieland l’auteur.
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<line tab="1"/>Si c’est de Votre permission, dequoi j’ai lieu de fort douter, que j’ai recú la copie de certaine silhouette, je ne demande pas pardon d’un silence qui seule pouvoit servir d’ expression a une reconnoissance qui comme le sujet qui l’ anime est au dessús de toute parole. Rien assurement me coute tant de peine qu’une lettre pour vous, quelqu’ingenu qu’il vous puisse paroitre un tel aveu, il n’est que trop reflechi, considerant le danger a qui je m’expose de peut étre Vous offenser.
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<line tab="1"/>Il faut que je previenne avant d’entrer dans aucun detail de mon projetje previenne d’abord quelques doutes assez fortes peut etre pour empecher que je puisse etre Iu sans indignation jusqu’au bout de mon ouvrage. Ce sera dira ton qu’a mon plan une infinit. de villes et bourgs restera entierement sans garnisons, et que les autres memes les places les plus importantes et des frontieres n’en auront pas d’assez fortes seulement pour fournir des sentinelles encore moins pour fournir de Ia defense aux differentes parties des fortifications. Mais je supplie Monseigneur, de me preter seulement son attention jusqu’a Ia fin de ma premiere esquisse des Iegions, etje prens Ia liberte de l’assurer d’avance qu’alors je lui montrerai des mojens surs et infaillibles de vaincre tous ces obstacles ce qui seulement ici n’est pas encore le lieu d’exposer. Elle peut étre trés assurée que quelque peu que peut etre ma connoissance de Ia guerre je n’aie pas omis un seul pointsans y songer et reflechir, et que meme jene <insertion pos="top">me</insertion> sois pas abandonne a ce principe hazarde sur les anciens, que Ia defense des places ne soit pas un article aussi necessaire dans Ia guerre, que Ia disposition d’une armee pour Ia guerre ouverte en rase campagne, tant helles choses que pourroit deja etre debute la dessils constate pour la pluspart de l’ experience tant des anciens que des nouveaux. – Je me contente seulement d’allequer ici en passant ce que Je Comte de saxe dit par rapport aux magazins necessaires pour nourrir une garnison forte de trois 4 mille hommes, et Ia facilite que cela donne aux ennemis de prendre Ia ville par Ia famine. Ainsi ce n’est dorre quun vain apparreil pendant Ia paix que les gamisons aussi fortes sans <insertion pos="top">que</insertion> qu’on songe a la force principale du paysje veux dire de l’armee.
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<line tab="1"/>Le secret principal d’une bonne discipline pendant Ia paix ou tout s’assoupit l’ardeur, l’ambition, les vues, ce seroit un mouvement continuel proportioené cependant aux forces humaines, avec des points de d’un repos choisi et d’assez de d’agremens pour pouvoir exciter a se soustraire <insertion pos="top">subir</insertion> pour lui a toutes peines et fatigues imaginables. II faut enfin que le soldat soit heureux pour etre bon, qu’il oublie son esclavage et le regarde comme un arrangement necessaire quil se prescriroit lui meme sil ne lui ser etoit pas prescrit quil ait a quoi tenir pour lui sacrifier ses forces et sa vie et qu’au comble d’encouragemens il fasse toute guerre en quelque facon pour soi meme. Voila ce qui a rendu les Romains les vainqueurs du monde; voila ce qui rendroit le Roi de France le plus terrible et le plus adore roi de Ia terreparce que chaque soldat defendroit se droits comme les siens propres. Mais passons ces declamations encore trop avancees.
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<sidenote pos="left" page="2" annotation="am linken Rand">quil y soit eleve et qu il soit familiarises avec ces principes des sa jeunesse. Voila ce qui leve tout d’un coup tous les obstacles de la subordination</sidenote></aq>
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<letterText letter="207">Lieber Lenz,
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<letterText letter="207"><page index="1"/>Lieber Lenz,
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<line tab="1"/>Hier wieder – hoff’ ein beßres Stück – So gut es bei der <ul>äußerst</ul> flüchtigen unbestimmten Zeichnung möglich war. Es ist der erste Abdruck. Fehlt noch die letzte Revision. So ists immer eine der größesten Physiognomieen, die ich gesehen. Beßern Abdruck bald.
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<line tab="1"/>Noch ein Wort. Lieber Lenz – wieg Deine Schritte, und thu nie nichts ohn einen Freund. Laß den Freund Deine Vernunft seyn. Sey zufrieden mit Deinem Herzen und Deinem Genius.
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<line tab="1"/>Adieu. Ich bin – vieles und keines, und alle Tage nur wenige Momente meiner selber. Kaufmann und Pfenninger sind izt bey Schloßern. –
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<line type="break" /><align pos="center">Dein Lavater.
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@@ -3339,34 +3328,28 @@ einbrechenden Schimmer des Tags verstecken konnte machte ich den Schattenriß. D
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<line type="break" />Hegi, den 10 Julius 1776.</align>
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<letterText letter="208">Hier ist der Guibert die andern Bücher sind nicht zu haben.
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<letterText letter="208"><page index="1"/>Hier ist der Guibert die andern Bücher sind nicht zu haben.
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<line type="break" />Da ist ein Louisdor.
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<line type="break" />Deine Zeichnungen sind brav fahre nur fort wie Du kannst.
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<line type="break" />Leb wohl und arbeite Dich aus wie Du kannst und magst.
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<line type="break" />G.
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<line tab="1"/>Deine Zeichnungen sind brav fahre nur fort wie Du kannst.
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<line tab="1"/>Leb wohl und arbeite Dich aus wie Du kannst und magst.
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<line type="break" /><align pos="right">G.</align>
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</letterText>
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<letterText letter="209">
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<letterText letter="209"><page index="1"/>
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<line tab="1"/>Herr von Einsiedel wird <aq>Ihnen</aq> Morgen durch einem <aq>expressen</aq> antworten. Ich habe den Brief ohne jemands weiter wißen selbsten eingehändiget.
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<line tab="1"/>Das Vertrauen deßen Sie mich zu würdigen belieben, zu verdienen, würde nichts vor mich zu kostbar seyn. und welcher Mensch, besäße er gleich das härteste Herz, sollte nicht die größte Hochachtung und Liebe haben, nach dem <aq>Ihnen</aq> gesehen und gesprochen.
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<line tab="1"/>Beehren Sie mich ferner mit <aq>Ihrem</aq> Vertrauen, Ich kenne jezo kein größer Vergnügen als Ihnen zu dienen –
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<line type="break"/><align pos="right"><aq>Schenck</aq></align>
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</letterText>
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<letterText letter="210"><align pos="right">Verbrenne das Billet.</align>
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<line type="break"/>Wolltest Du doch das dem Herrn weisen, Liebgen, wenn Du meynest daß es ihm Spas machen kann.
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<letterText letter="210"><page index="1"/><align pos="right">Verbrenne das Billet.</align>
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<line tab="1"/>Wolltest Du doch das dem Herrn weisen, Liebgen, wenn Du meynest daß es ihm Spas machen kann.
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<line tab="1"/>Sag mir doch, ob es ein Utopisches Projeckt wäre eine Handlung zwischen Frankreich und Weymar anzuspinnen. Wenn in W. eine Messe angelegt würde für französische Kaufleute, <ul>Manufaktürieurs</ul> – laß seyn daß im Anfang die Balanz auf ihrer Seite wäre, es liessen sich mit der Zeit wol einige hier nieder und die Gäste – sollten auch willkommen seyn. Ihr könntet ja um das zu erhalten, wenn sie erst im Train drin sind auf einmal die Einfuhr fremder Waren mit <insertion pos="top">höheren</insertion> Zöllen belegen. Ihr seyd hier im Herzen von Deutschland und stoßt an viel Länder die noch ärmer an Industrie sind als Ihr. – Frankreich willig
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<sidenote pos="left" page="1" annotation="am linken Rand, vertikal">zu machen, wäre dann wieder eine Sache für sich. Es ist freilich keine Nation in der Welt schwerer und leichter zu behandeln. – Auch hättet ihr Naturprodukte entgegen zu setzen, Bergwerk, Lein, Wolle u.s.w. Dies sind nur noch Träume Bruder.</sidenote>
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<page index="2"/>
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<line tab="1"/>Ob der Herzog deswegen Verträge mit den übrigen Sächsischen Höfen besonders mit Chursachsen thun dürfe, geht mich nichts an.
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<line tab="1"/>Das wird wenigstens keinem Vertrage zu wieder seyn daß er Manufakturisten ins Land zieht. Und von wem hat Deutschland die je erhalten als aus Fr. Auch können keine andere in ihren Preisen so mässig seyn, weil sie mit dem <aq>compendio virium</aq> nicht arbeiten.
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</letterText>
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@@ -1459,18 +1459,10 @@
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<letterTradition letter="206">
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<app ref="4">
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Kraków, Biblioteka Jagiellońska, Lenziana 5, Nr. 23; Entwurf
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Kraków, Biblioteka Jagiellońska, Lenziana 5, Nr. 23; Entwurf.
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</app>
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<app ref="11">
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<line tab="1"/>Darf ich, gnädige Frau, Sie zu bitten wagen, die Fortsetzung des Teutschen Merkur
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entgegenzunehmen, mit tiefstem Respekt und der ausgezeichneten Hochachtung des Autors, Herrn
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Wieland.<line type="break"/>
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<line tab="1"/>Sollte ich mit Ihrer Erlaubnis, was ich anzweifle, die Kopie einer gewissen Silhouette
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erhalten haben, so kann ich nicht um Verzeihung bitten für mein Schweigen, das nur ein
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Ausdruck von Dankbarkeit ist, die, wie die Sache, die es hervorrief, über das Sprechen
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wohl erhaben ist. Kaum etwas kostet mich mehr Mühe, als einen Brief an Sie zu verfassen;
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mag Ihnen das Geständnis auch harmlos erscheinen, so ist es doch wohl überlegt, bedenkt
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man die Gefahr, in die ich mich begebe, Sie vielleicht zu kränken.</app><!-- Soll die Übersetzung ausschnitthaft sein? -->
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<line tab="1"/>Übersetzung fehlt noch?, Schriften Sozialreform 1,394</app><!-- Soll die Übersetzung ausschnitthaft sein? -->
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</letterTradition>
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<letterTradition letter="207">
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Reference in New Issue
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