Einpflegung vom französischen Brief 374 und Übersetzung.

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<line tab="1"/>Es ist hier ein Fürst Gholizin der in Liefland Güter hat und von seiner Bekanntschaft weiß ich zwey
liebenswürdige Gelehrte aus der Schweitz, die vielleicht gegen vortheilhafte Anträge aus Liefland nicht
unempfindlich seyn würden. Im Vorbeigehen <aq>„oserois je bien demander, mon eher Baron, si Vous aviez
quelques Iiaisons avec zme certaine Dame Douairiere, Soeur de Ia Generale Kurganoffsky de Ia flotte
a S. Petersbourg. Sa Soeur, comme elle ne doit pas ignorer, s 'est domte zme superbe maison et je
crois que Me. d 'A ** feroit tres bien, de lui COI?fier zme ou deux de ses filles, dont on m 'a dit,
qu 'une avoit llit promis, Offleier au corps des Cadets, et que j'ai eü I 'honneur de voir chez Me.
de K**. Le scrupule comme si son.fief de Ia couronne courroit risque en eloignant une de ses filles,
cesseroit bien vite parceque ces sortes de donations sont pour Ia vie de Ia Douairiere. De plus, ce
jeune officier dont depuis mon sejour ici je n 'ai Ia moindre nouvel/e, se trouvera probablement encore
au corps, ou une 20taine de Livoniens sont eleves aux depens de I 'Jmperatrice. Ces Livoniens en sortant
du corps, pourroient continuer leurs etudes a Plescou, et Mons. de Prattje se faire un merite distingue,
de !es accompagner.“</aq> <line type="empty"/>
unempfindlich seyn würden. Im Vorbeigehen <aq>„oserois je bien demander, mon cher Baron, si Vous aviez quelques
Iiaisons avec une certaine Dame Douairière, Soeur de Ia Generale Kurganoffsky de Ia flotte à S. Petersbourg.
Sa Soeur, comme elle ne doit pas ignorer, sest donné une superbe maison et je crois que Me. dA ** feroit
très bien, de lui confier une ou deux de ses filles, dont on ma dit, quune avoit un promis, Officier au
corps des Cadets, et que jai eû Ihonneur de voir chez Me. de K**. Le scrupule comme si son fief de Ia couronne
courroit risque en eloignant une de ses filles, cesseroit bien vite parceque ces sortes de donations sont pour
Ia vie de Ia Douairière. De plus, ce jeune officier dont depuis mon sejour ici je nai Ia moindre nouvelle, se
trouvera probablement encore au corps, oú une 20taine de <ul>Livoniens</ul> sont élevés aux depens de IImperatrice. Ces
Livoniens en sort<ul>ant du</ul> corps, pourro<ul>ient con</ul>tinuer leurs études <ul>à Plesc</ul>ou, et Mons. de Pr<ul>attje se</ul> faire un
merite distingué, de les accompagner.“</aq> <line type="empty"/>
<line tab="1"/>Verzeihen Ew. Hochwolgeb. daß ich alle Mißverständnisse zwischen Rußland und Liefland auf die Rechnung
alter Chronikenschreiber und Schulfüchse setze. Sie waren nicht viel besser als die Romanschreiber, die