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@@ -3307,9 +3307,10 @@ einbrechenden Schimmer des Tags verstecken konnte machte ich den Schattenriß. D
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<letterText letter="206"><page index="1"/><aq>
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<line tab="1"/>Il s’ agit aussi de faire des Soldats et d’ Officiers pas des jeunes gens etourdis et effemines en meme tems, quelque fois de grends enfans, mais des hommes d’un courage male et affermis comme les vieux Romains – Mais assez de Preliminaires passans au fait.
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<line tab="1"/>Quon pe me passe encore une seule et Ia derniere remarque preliminaire. Cest que de tout tems il est affermi par l’experience de tous tems et lieux et surtout de la France, que la guerre, soit heureuse ou malheureuse, ruine enfi Je pays qui Ia fait. Cest peut etre a Ia france qui depuis tous les tems par des arrangemens plus sages a donnee lois aux autres peuples, a les instruire comment enfin on peut faire Ia guerre au profit de son pays, comme les vieux les Romains les ont faits et en meme tems a Ia gloire du Roi. C’ est lorsque les Soldats comme chez les vieux Rom. combattent pour eux et pour leurs propres familles, songent a mettre a l’ecart le butin qu’ils font, et Je rapportent dans le Royaume ou apres ils circulent et l’enrichissent. Voila ce qui manquoit aux Louis 14 et ou les Colberts ne pouvoient pas remedier. Ce netoient que des palliatives qu’ils inventoient pour subvenir aux frais de Ia guerre, et qui n’ayant des canaux reduisants devoient a Ia fin, quelques sages que tous ces dispositions etoient prises, tarir les sources les plus fecondes. Voila actuellement tous ces perils d’une guerre prevenues <insertion pos="top">de longue main</insertion> parce que tous les moiens que les sujets ouvriront au tems de l’extreme necessité, vont retourner aux tems de Ia paix a leur propre profit. Car d’abord que l’armee revient elle reduit avec soi l’abondance et l’industrie arreté par Ia guerre.
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<line tab="1"/><note>um 90 Grad gedreht</note>Oserois je vous prier Madame! d’agréér ici la continuation du Mercure Allemand avec les assurances de son plus profand respect et parfait éstime de la part de Monsieur Wieland l’auteur.
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<line tab="1"/><align pos="center"><note>Brieftext um 90 Grad gedreht:</note></align>Oserois je vous prier Madame! d’agréér ici la continuation du Mercure Allemand avec les assurances de son plus profand respect et parfait éstime de la part de Monsieur Wieland l’auteur.
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<line tab="1"/>Si c’est de Votre permission, dequoi j’ai lieu de fort douter, que j’ai recú la copie de certaine silhouette, je ne demande pas pardon d’un silence qui seule pouvoit servir d’ expression a une reconnoissance qui comme le sujet qui l’ anime est au dessús de toute parole. Rien assurement me coute tant de peine qu’une lettre pour vous, quelqu’ingenu qu’il vous puisse paroitre un tel aveu, il n’est que trop reflechi, considerant le danger a qui je m’expose de peut étre Vous offenser.
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<line tab="1"/>Il faut que je previenne avant d’entrer dans aucun detail de mon projetje previenne d’abord quelques doutes assez fortes peut etre pour empecher que je puisse etre Iu sans indignation jusqu’au bout de mon ouvrage. Ce sera dira ton qu’a mon plan une infinit. de villes et bourgs restera entierement sans garnisons, et que les autres memes les places les plus importantes et des frontieres n’en auront pas d’assez fortes seulement pour fournir des sentinelles encore moins pour fournir de Ia defense aux differentes parties des fortifications. Mais je supplie Monseigneur, de me preter seulement son attention jusqu’a Ia fin de ma premiere esquisse des Iegions, etje prens Ia liberte de l’assurer d’avance qu’alors je lui montrerai des mojens surs et infaillibles de vaincre tous ces obstacles ce qui seulement ici n’est pas encore le lieu d’exposer. Elle peut étre trés assurée que quelque peu que peut etre ma connoissance de Ia guerre je n’aie pas omis un seul pointsans y songer et reflechir, et que meme jene <insertion pos="top">me</insertion> sois pas abandonne a ce principe hazarde sur les anciens, que Ia defense des places ne soit pas un article aussi necessaire dans Ia guerre, que Ia disposition d’une armee pour Ia guerre ouverte en rase campagne, tant helles choses que pourroit deja etre debute la dessils constate pour la pluspart de l’ experience tant des anciens que des nouveaux. – Je me contente seulement d’allequer ici en passant ce que Je Comte de saxe dit par rapport aux magazins necessaires pour nourrir une garnison forte de trois 4 mille hommes, et Ia facilite que cela donne aux ennemis de prendre Ia ville par Ia famine. Ainsi ce n’est dorre quun vain apparreil pendant Ia paix que les gamisons aussi fortes sans <insertion pos="top">que</insertion> qu’on songe a la force principale du paysje veux dire de l’armee.
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<line tab="1"/>Le secret principal d’une bonne discipline pendant Ia paix ou tout s’assoupit l’ardeur, l’ambition, les vues, ce seroit un mouvement continuel proportioené cependant aux forces humaines, avec des points de d’un repos choisi et d’assez de d’agremens pour pouvoir exciter a se soustraire <insertion pos="top">subir</insertion> pour lui a toutes peines et fatigues imaginables. II faut enfin que le soldat soit heureux pour etre bon, qu’il oublie son esclavage et le regarde comme un arrangement necessaire quil se prescriroit lui meme sil ne lui ser etoit pas prescrit quil ait a quoi tenir pour lui sacrifier ses forces et sa vie et qu’au comble d’encouragemens il fasse toute guerre en quelque facon pour soi meme. Voila ce qui a rendu les Romains les vainqueurs du monde; voila ce qui rendroit le Roi de France le plus terrible et le plus adore roi de Ia terreparce que chaque soldat defendroit se droits comme les siens propres. Mais passons ces declamations encore trop avancees.
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<sidenote pos="left" page="2" annotation="am linken Rand">quil y soit eleve et qu il soit familiarises avec ces principes des sa jeunesse. Voila ce qui leve tout d’un coup tous les obstacles de la subordination</sidenote></aq>
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@@ -3352,7 +3353,9 @@ einbrechenden Schimmer des Tags verstecken konnte machte ich den Schattenriß. D
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<line tab="1"/>Ich muß Ew. Durchlaucht in tiefster Unterthänigkeit berichten, daß ich am Mittewoch Morgen ein Pack mit Wäsche und den Tag darauf Abends den Herrn Doktor Buchholz mit verschiedenen Arzeneymitteln richtig erhalten; da aber in unserm Dorf weder mit Gold bereiftes Pappier noch ein Formular zu einem Danksagungsschreiben, noch auch ein Dicktionär witziger und galanter Einfälle zu haben ist, so werden Sie gnädigste Herzogin! einem Kranken verzeyhen, daß er diesesmal nicht dankbar seyn kann. Der Ueberbringer Ihres huldreichen Geschenks hat, wie ich aus der Ankunft des Arztes geschlossen, vermutlich die Nachricht zurückgebracht, daß er mich zu Bette und weinend angetroffen, welches letztere er für eine Wirkung meiner Krankheit gehalten haben muß; da mir eine Mißdeutung von der Art noch öftere Besuche des Arztes zuziehen könnte, so habe ihr nur durch diese Zeilen zuvorkommen wollen.
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<page index="2"/>IN SOZIALREFORMEN ENTHALTEN???
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<line type="break"/><note>Es folgen zwei Seiten Exzerpte aus Stuart, Über das System und Frankreichs Bankrut, 3. Buch, Einl. p. 546; vgl. Schriften zur Sozialreform, Bd. 1, S. 396f.</note>
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Kraków, Biblioteka Jagiellońska, Lenziana 5, Nr. 23; Entwurf.
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Kraków, Biblioteka Jagiellońska, Lenziana 5, Nr. 23; Entwurf.
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<line tab="1"/>Übersetzung fehlt noch?, Schriften Sozialreform 1,394</app><!-- Soll die Übersetzung ausschnitthaft sein? -->
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<line tab="1"/>Darf ich, gnädige Frau, Sie zu bitten wagen, die Fortsetzung des Teutschen Merkur entgegenzunehmen, mit tiefstem Respekt und der ausgezeichneten Hochachtung des Autors, Herrn Wieland.
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Sollte ich mit Ihrer Erlaubnis, was ich anzweifle, die Kopie einer gewissen Silhouette erhalten haben, so kann ich nicht um Verzeihung bitten für mein Schweigen, das nur ein Ausdruck von Dankbarkeit ist, die, wie die Sache, die es hervorrief, über das Sprechen wohl erhaben ist. Kaum etwas kostet mich mehr Mühe, als einen Brief an Sie zu verfassen; mag Ihnen das Geständnis auch harmlos erscheinen, so ist es doch wohl überlegt, bedenkt man die Gefahr, in die ich mich begebe, Sie vielleicht zu kränken.
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Kraków, Biblioteka Jagiellońska, Lenziana 5, Nr. 26; Abschrift (?); verso Exzerpte aus
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Stuart, Über das
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System und Frankreichs Bankrut, 3. Buch, Einl. p. 546.
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Kraków, Biblioteka Jagiellońska, Lenziana 5, Nr. 26. Entwurf.
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Reference in New Issue
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