Einpflegung vom französischen Brief 206 und Übersetzung.

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Me: la Duchesse regnante a Belvedere sa maison de campagne; le Duc est a Illmenau; ou jespere bientot le voir après avoir
encore joui quelques semaines des douceurs de la solitude.</aq></letterText>
<letterText letter="206"><!-- französischer Brief --></letterText>
<letterText letter="206"><aq><line tab="1"/>II s agit aussi de faire des Soldats et d Officiers pas des jeunes gens etourdis et effemines en meme
tems, quelque fois de grends enfans, mais des hommes dun courage male et affermis comme les
vieux Romains Mais assez de Preliminaires passans au fait. <line type="empty"/>
<line tab="1"/>Quon pe me passe encore une seule et Ia derniere remarque preliminaire. Cest que de tout tems
il est affermi par lexperience de tous tems et lieux et surtout de la France, que la guerre,
soit heureuse ou malheureuse, ruine enfi Je pays qui Ia fait. Cest peut etre a Ia france qui
depuis tous les tems par des arrangemens plus sages a donnee lois aux autres peuples, a les
instruire comment enfin on peut faire Ia guerre au profit de son pays, comme les vieux les
Romains les ont faits et en meme tems a Ia gloire du Roi. C est lorsque les Soldats comme chez
les vieux Rom. combattent pour eux et pour leurs propres familles, songent a mettre a lecart le
butin quils font, et Je rapportent dans le Royaume ou apres ils circulent et lenrichissent.
Voila ce qui manquoit aux Louis 14 et ou les Colberts ne pouvoient pas remedier. Ce netoient que
des palliatives quils inventoient pour subvenir aux frais de Ia guerre, et qui nayant des canaux
reduisants devoient a Ia fin, quelques sages que tous ces dispositions etoient prises, tarir les
sources les plus fecondes. Voila actuellement tous ces perils dune guerre prevenues <insertion pos="top">de longue
main</insertion> parce que tous les moiens que les sujets ouvriront au tems de lextreme necessité, vont
retourner aux tems de Ia paix a leur propre profit. Car dabord que larmee revient elle reduit
avec soi labondance et lindustrie arreté par Ia guerre. <line type="empty"/>
<line tab="1"/><note>um 90 Grad gedreht</note>Oserois je vous prier Madame! dagréér ici la continuation du Mercure Allemand avec les assurances
de son plus profand respect et parfait éstime de la part de Monsieur Wieland lauteur. <line type="empty"/>
<line tab="1"/>Si cest de Votre permission, dequoi jai lieu de fort douter, que jai recú la copie de certaine
silhouette, je ne demande pas pardon dun silence qui seule pouvoit servir d expression a une
reconnoissance qui comme le sujet qui l anime est au dessús de toute parole. Rien assurement me
coute tant de peine quune lettre pour vous, quelquingenu quil vous puisse paroitre un tel aveu,
il nest que trop reflechi, considerant le danger a qui je mexpose de peut étre Vous offenser. <line type="empty"/>
<page index="2"/> <line type="empty"/>
<line tab="1"/>Il faut que je previenne avant dentrer dans aucun detail de mon projetje previenne dabord quelques
doutes assez fortes peut etre pour empecher que je puisse etre Iu sans indignation jusquau bout de mon
ouvrage. Ce sera dira ton qua mon plan une infinit. de villes et bourgs restera entierement sans garnisons,
et que les autres memes les places les plus importantes et des frontieres nen auront pas dassez fortes
seulement pour fournir des sentinelles encore moins pour fournir de Ia defense aux differentes parties des
fortifications. Mais je supplie Monseigneur, de me preter seulement son attention jusqua Ia fin de ma
premiere esquisse des Iegions, etje prens Ia liberte de lassurer davance qualors je lui montrerai des
mojens surs et infaillibles de vaincre tous ces obstacles ce qui seulement ici nest pas encore le lieu
dexposer. Elle peut étre trés assurée que quelque peu que peut etre ma connoissance de Ia guerre je naie
pas omis un seul pointsans y songer et reflechir, et que meme jene <insertion pos="top">me</insertion> sois pas abandonne a ce principe
hazarde sur les anciens, que Ia defense des places ne soit pas un article aussi necessaire dans Ia guerre,
que Ia disposition dune armee pour Ia guerre ouverte en rase campagne, tant helles choses que pourroit
deja etre debute la dessils constate pour la pluspart de l experience tant des anciens que des nouveaux.
Je me contente seulement dallequer ici en passant ce que Je Comte de saxe dit par rapport aux magazins
necessaires pour nourrir une garnison forte de trois 4 mille hommes, et Ia facilite que cela donne aux
ennemis de prendre Ia ville par Ia famine. Ainsi ce nest dorre quun vain apparreil pendant Ia paix que
les gamisons aussi fortes sans <insertion pos="top">que</insertion> quon songe a la force principale du paysje veux dire de larmee. <line type="empty"/>
<line tab="1"/>Le secret principal dune bonne discipline pendant Ia paix ou tout sassoupit lardeur, lambition, les
vues, ce seroit un mouvement continuel proportioené cependant aux forces humaines, avec des points de dun
repos choisi et dassez de dagremens pour pouvoir exciter a se soustraire <insertion pos="top">subir</insertion> pour lui a toutes
peines et fatigues imaginables. II faut enfin que le soldat soit heureux pour etre bon, quil oublie son
esclavage et le regarde comme un arrangement necessaire quil se prescriroit lui meme sil ne lui ser etoit
pas prescrit quil ait a quoi tenir pour lui sacrifier ses forces et sa vie et quau comble dencouragemens
il fasse toute guerre en quelque facon pour soi meme. Voila ce qui a rendu les Romains les vainqueurs du
monde; voila ce qui rendroit le Roi de France le plus terrible et le plus adore roi de Ia terreparce que
chaque soldat defendroit se droits comme les siens propres. Mais passons ces declamations encore trop
avancees. <line type="empty"/>
<line tab="1"/><sidenote pos="left" page="2" annotation="am linken Rand">quil y soit eleve et qu il soit familiarises avec ces principes des sa jeunesse. Voila ce qui leve tout
dun coup tous les obstacles de la subordination</sidenote></aq></letterText>
<letterText letter="207">Lieber Lenz, <line type="empty"/>
<line type="empty"/>
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<page index="2"/> <line type="empty"/>
<line tab="1"/>en <del>allez juger</del> <insertion pos="top">devinerez quelquechose</insertion> par la contradiction de toutes mes actions,
quoique mes sentimens tant pervers que Vous me <del>engagez</del> <insertion pos="top">˕supposiez˕</insertion> ne peuvent jamais
quoique mes sentimens tant pervers que Vous me <del>engagez</del> <insertion pos="top">supposiez</insertion> ne peuvent jamais
<insertion pos="top">etre reduits a</insertion> se contredire. Convenez quil ny a rien de si cruel, que dagir contre
son coeur; cependant jy suis contraint par les actions des personnes même qui se
disoient autre fois mes amis et qui sous ce pretexte se croyoient tout permis contre moi.
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es ein Liebhaber je thun kann, er lügt in des Liebhabers Namen. Die Regel ist nicht ohne Ausnahme, aber
das ist zu verlässig, je besser gesetzt je feiner gereimt gedacht gerundet der Vers je mehr die Seele in
der rechten Harmonie, desto weniger liebte der der ihn machte. Die Liebe begnügt sich wenn sie in den Fall
kommt mit ängstlichen einzelnen Lauten, und ˕be˕hält das beste zurük: der schöne Geist und artige Mann wird
kommt mit ängstlichen einzelnen Lauten, und <insertion pos="top">be</insertion>hält das beste zurük: der schöne Geist und artige Mann wird
ein freygebiger Gastwirth und stellt das letzte aus sieben Schüssern auf den Tisch, denn er ist großmüthig <line type="empty"/>
<line tab="1"/>Was soll das Wimmern und Püsteln närrisches Weib wenn eins deiner Kinder kränkelt. Ist nicht jemand da einen